Les idées clés
Quand on parle de la fertilité féminine, il y a une problématique qui revient toujours : la quantité d’ovules qu’il nous reste avant la ménopause, que l’on appelle aussi la réserve ovarienne. Toutefois, il y a un autre facteur qui joue énormément sur notre capacité à concevoir : c’est la qualité de nos ovocytes ! Et ça, c’est souvent moins concret, moins palpable, et plus stressant aussi…
Or si la qualité ovocytaire diminue indéniablement avec l’âge, comme la quantité, on peut néanmoins ralentir ce processus et retrouver des ovocytes de meilleure qualité, pour maximiser ses chances de grossesse, que ce soit naturellement ou à l’issue d’un parcours PMA 🙂
Ceci étant dit, comment améliorer la qualité de ses ovocytes, concrètement ? Comment notre hygiène de vie peut changer la donne en matière de fertilité ? On vous explique 🙂
L'article, en bref
ToggleQu’est-ce qu’un ovocyte ?
Pour commencer, rappelons ce qu’est un ovocyte ! Il s’agit du gamète femelle, l’équivalent du spermatozoïde chez les hommes (le gamète mâle, donc). C’est donc la moitié d’un futur embryon, qui porte le code génétique de la maman. Chaque ovocyte est à l’intérieur d’un follicule ovarien, une sorte de petit sac, une petite enveloppe.
Il faut aussi savoir qu’il s’agit d’une cellule germinale, c’est-à-dire une cellule qui est bien présente mais qui reste en dormance un certain temps avant d’être réveillée.
En effet, vous le savez peut-être, mais un bébé fille naît avec son stock d’ovocytes (un million environ) : cela signifie que la moitié de sa future fille était déjà présente dans l’utérus de sa maman (incroyable, non ?!), mais aussi et surtout que, contrairement aux hommes, les femmes ne produisent pas de nouveaux ovocytes au cours de leur vie.
Le stock d’ovocytes est ensuite plus bas à l’adolescence, puisqu’il reste à peu près 400 000 ovocytes qui espèrent être stimulés par le cerveau pour se lancer dans la course à l’ovulation.
Et pour la majeure partie d’entre eux, l’espoir est vain ! En effet, comme une femme ovule environ 400 fois dans une vie et qu’environ 15-20 follicules tentent leur chance à chaque cycle, on peut estimer que seulement 8000 ovocytes franchissent la ligne de départ et tentent d’ovuler. Tous les autres vont mourir par atrésie, tout simplement se dégrader et mourir. Oui, la vie d’un ovocyte est ingrate !
Quelle est la différence entre un ovocyte et un ovule ? On entend très souvent le terme « ovule » et finalement assez peu le terme « ovocyte ». Le terme « ovocyte » désigne donc la cellule reproductrice féminine et il devient un ovule seulement au moment où il est prêt à être fécondé par un spermatozoïde, c’est-à-dire libéré hors de l’ovaire, dans la trompe.
Ainsi, quand on parle de l’ovulation, on peut dire que le follicule ovarien libère son ovocyte, et quand on parle de la fécondation, on peut, à ce stade, dire que le spermatozoïde est entré dans l’ovocyte mature devenu un ovule.
L’ovule est aussi la plus grosse cellule de l’être humain 🙂
De l’ovocyte à l’ovule : un processus qui prend du temps
Vous l’avez sûrement un peu compris, mais un ovocyte ne devient pas un ovule « comme ça » et il suit tout un processus de maturation, qui s’appelle l’ovogénèse (ou la folliculogénèse) et qui respecte plusieurs stades.
Au tout premier stade (le stade de dormance dans lequel il peut rester plusieurs dizaines d’années), l’ovocyte est un follicule primordial, qui mesure 0,025 mm de diamètre. Un bébé fille naît donc, on l’a dit, avec son stock de follicules primordiaux.
3 mois avant l’ovulation, le follicule primordial se réveille et devient un follicule primaire, puis un follicule secondaire (ou pré-antral). Pour info, ce sont les follicules secondaires qui sécrètent l’AMH, la fameuse hormone qui donne, en partie, une idée de la réserve ovarienne !
Environ 14 jours avant l’ovulation, au début du cycle menstruel, le follicule passe au stade antral : il commence à activer ses récepteurs afin d’être stimulé par les hormones émises par notre cerveau (la FSH et la LH). Pour info, ce sont les follicules antraux que l’on compte quand on fait un comptage des ovocytes.
Pendant le cycle, un seul follicule va suffisamment maturer et ovuler pour libérer son ovocyte : il s’agit du follicule de De Graaf, qui sera potentiellement fécondé par un spermatozoïde. Une fois libéré, l’ovocyte a une durée de vie de 24 heures grand maximum : s’il n’est pas fécondé, il meurt, comme tous ses autres petits copains qui n’ont même pas pu ovuler.
Pourquoi est-il important d’améliorer sa qualité ovocytaire ?
On parle beaucoup de la réserve ovarienne et de son marqueur, l’AMH : en effet, cette hormone est sécrétée par les follicules au stade pré-antral : ce sont les follicules qui attendent leur tour pour se lancer dans la course à l’ovulation ! Ainsi, plus il y a de follicules, plus il y a d’AMH : c’est ce qui explique que l’AMH soit très souvent dosée lors des examens médicaux liés à l’infertilité féminine.
Pour autant, l’AMH n’est qu’un reflet de la quantité des ovocytes présents, et ce qui compte pour s’assurer de pouvoir tomber enceinte, c’est surtout que l’ovulation se déroule bien ET que les ovules soient de bonne qualité.
En effet, la qualité ovocytaire détermine la capacité des ovules à :
être fécondés
créer des embryons viables
bien s’implanter dans l’utérus.
Une bonne qualité ovocytaire augmente donc les chances de grossesse, et limite le risque de grossesse arrêtée de manière précoce (le risque de « fausse couche »).
Par ailleurs, et pour les mêmes raisons, des ovocytes de bonne qualité augmentent considérablement les chances de réussite d’un protocole PMA et en particulier d’un traitement de fécondation in vitro (FIV) !
Quels sont les facteurs qui influent sur la qualité des ovocytes ?
L’âge
L’âge est l’un des facteurs qui impactent le plus la qualité de nos ovocytes. Pourquoi ?
Plus on vieillit, plus les cellules de notre corps, y compris nos ovocytes, sont exposées au stress oxydatif : chaque cellule, quand elle fonctionne, libère ce qu’on appelle des radicaux libres, qui sont tout à fait normaux. Sauf qu’avec le temps, ces radicaux libres s’accumulent et viennent « oxyder » notre organisme, ce qui altère les membranes cellulaires : celles de nos ovocytes ne font pas exception ! Cette altération vient endommager le matériel génétique des ovocytes et impacter leurs chances de fécondation ou le bon développement du futur embryon.
Par ailleurs, avec le temps, nos cellules fonctionnent tout simplement moins bien, ce qui peut abaisser la qualité des ovocytes (notamment au niveau des mitochondries et de leur production d’énergie).
L’hygiène de vie
Si on ne peut pas faire grand chose pour l’âge, le mode de vie a aussi un rôle important à jouer dans la préservation de notre fertilité (ou son altération), principalement en raison de son impact sur le stress oxydatif.
Le tabac
Le tabagisme a une certaine influence sur la qualité ovocytaire : en effet, la nicotine et le cadmium contenus dans le tabac peuvent endommager l’ADN des ovocytes, ainsi que le liquide folliculaire dans lequel ils baignent.
Le tabac vient également perturber ce qu’on appelle le « fuseau meïotique », qui est crucial pour garantir que chaque gamète reçoive le bon nombre de chromosomes : ainsi, le fait de fumer peut entraîner des anomalies chromosomiques.
Le tabac augmente aussi l’épaisseur de la zone pellucide, l’enveloppe protectrice de l’ovocyte, ce qui entrave ses chances de fécondation (sa membrane est trop épaisse pour que le spermatozoïde puisse entrer et le féconder).
Enfin, les femmes qui fument peuvent avoir des ovocytes qui ont du mal à maturer, puis à tenter leur chance pour l’ovulation.
C’est pour toutes ces raisons que l’on recommande aux femmes qui ont recours à la fécondation in vitro (FIV) d’arrêter de fumer, afin d’optimiser la qualité des ovules et avoir un nombre suffisant d’embryons à ponctionner 🙂
Pour info, le tabac altère aussi la qualité du sperme.
Le stress
Le stress, de manière générale, est un grand ennemi du cycle menstruel et de la fertilité !
Si on s’en tient à la qualité des ovocytes, l’hormone du stress, le cortisol, affecterait de manière négative les cellules de la granulosa dans le follicule ovarien en favorisant leur destruction : la granulosa, c’est une sorte de « collier » de cellules sur la membrane des ovocytes qui les protège et permet leur bon développement.
Le stress peut aussi perturber la circulation sanguine, ce qui limite l’apport en nutriments et en hormones nécessaires à la maturation des ovocytes. Il participe aussi grandement au stress oxydatif de nos organisme au global, et celui de nos ovocytes en particulier !
Enfin, bien sûr, le stress impacte la production de nos oestrogènes, ce qui a un effet négatif direct sur le dernier stade de développement des follicules ovariens dans les jours / semaines qui précèdent l’ovulation. En effet, la cascade hormonale responsable de l’ovulation démarre dans le cerveau, avec l’hypothalamus : toutefois, cette glande reçoit également des informations de la part de notre système nerveux et elle peut, en cas de stress important, décider de ne pas lancer le processus ovulatoire.
L’alimentation
Ce que l’on met dans notre assiette peut aussi tout à fait compromettre la « bonne santé » de nos ovocytes ! En effet, l’alimentation ultra transformée par exemple peut être un grand pourvoyeur d’inflammation, et donc de stress oxydatif et de déséquilibre hormonal.
De la même manière, nos ovocytes ont besoin de certains nutriments comme le zinc ou les vitamines du groupe B pour bien se développer, qui peuvent parfois manquer dans nos repas quotidiens.
La sédentarité
Le manque d’activité physique peut à la fois augmenter le stress émotionnel et le stress oxydatif. De la même manière, le fait de rester très sédentaire impacte la circulation sanguine, et donc la nutrition et l’oxygénation des ovocytes !
Notre environnement
La pollution
Vous ne voyez pas le lien entre la pollution atmosphérique et notre fertilité ? C’est vrai qu’elles ne paraissent pas liées au premier abord, et pourtant ! En effet, l’exposition aux particules fines par exemple, est associée à une diminution de la qualité ovocytaire, et les hydrocarbures présents dans la fumée et les métaux lourds comme le plomb peuvent endommager les cellules reproductrices, y compris les ovocytes :s
Les perturbateurs endocriniens
Et comment ne pas parler des perturbateurs endocriniens ? Ils sont absolument partout et viennent chambouler le processus de maturation de nos ovocytes, notamment en brouillant le message hormonal entre le cerveau et les ovaires et en perturbant le processus de l’ovulation.
Ils peuvent aussi altérer la qualité du liquide folliculaire (notamment le bisphénol S).
Existe-il un examen médical pour connaître la qualité de ses ovocytes ?
En lisant tous les facteurs qui peuvent abaisser la qualité des ovocytes, vous avez sûrement envie de savoir comment vont les vôtres ! Malheureusement, les examens médicaux comme le dosage de l’AMH ou le comptage des follicules antraux se concentrent plutôt sur la quantité d’ovocytes restants, que sur leur qualité.
C’est souvent uniquement en PMA, lorsque les tentatives de FIV par exemple n’aboutissent pas, que l’on se rend compte que la qualité ovocytaire n’est pas optimale :s
Mais avant cela, il n’y a pas d’examen pour analyser la qualité des ovocytes, c’est l’absence de fécondation ou de bon développement embryonnaire qui peut orienter vers ce diagnostic.
Pour autant, on n’est pas totalement dénuées d’indicateurs. En effet, pour avoir une idée de l’aspect qualitatif des ovocytes, ce qui peut être très intéressant, c’est de s’assurer que l’ovulation a bien lieu (éventuellement grâce à la symptothermie), que les phases du cycle sont équilibrées et que, donc, les hormones sexuelles (oestrogènes, progestérone) sont produites en quantité suffisante !
Par exemple, une insuffisance en progestérone qui se verrait dans une phase post ovulatoire courte ou un gros syndrome prémenstruel pourrait venir d’une mauvaise qualité ovocytaire, puisqu’elle est produite par le corps jaune, qui est le reste du follicule vide après que l’ovocyte ait été éjecté dans la trompe utérine.
Quelques conseils pour booster sa qualité ovocytaire
Quand on souhaite avoir un enfant, améliorer sa qualité ovocytaire est toujours une bonne idée 🙂 Voici quelques pistes pour vous y aider !
Ajuster son hygiène de vie
Vous l’avez compris, l’hygiène de vie est un facteur important pour avoir des ovules de qualité !
Côté alimentation
Pour ce faire, il est important de soigner son alimentation, en faisant la part belle aux antioxydants et aux bons gras comme les oméga 3, qui vont réduire le stress oxydatif et l’inflammation.
On trouve des antioxydants dans les aliments riches en bêta carotène, en flavonoïdes et en polyphénols comme les légumes et fruits colorés, les fruits secs ou encore le thé vert, le vin rouge, le chocolat noir ou encore le curcuma ou le romarin 🙂
Les acides gras oméga 3 quant à eux, sont plutôt présents dans le jaune d’oeuf et les petits poissons des mers froides, comme le maquereau ou les sardines.
Le régime méditerranéen, à base de poisson et de viande blanche, de légumes et d’acides gras de qualité, peut aussi être une excellente option pour préserver ses ovocytes !
Les protéines (notamment au petit déjeuner), les vitamines du groupe B, la vitamine C et le zinc sont également des nutriments hyper importants pour la fertilité et la qualité ovocytaire 🙂
Mais aussi
Voici d’autres habitudes à intégrer à votre quotidien pour augmenter la qualité de vos ovocytes, en réduisant le stress oxydatif :
Arrêter de fumer, on l’a dit (ou au moins, essayer de baisser votre consommation :))
Pratiquer une activité physique
Limiter le café, les produits transformés et l’alcool
Éviter de se trouver en présence de perturbateurs endocriniens, autant que possible ! Si vous le souhaitez, notre article sur les poêles sans perturbateurs endocriniens est à votre disposition, de même que celui sur les cosmétiques sans perturbateurs endocriniens 🙂
Les compléments alimentaires qui ont fait leurs preuves
Si vous souhaitez compléter cette alimentation « pro-ovocytes » par des compléments alimentaires, voici ceux qui peuvent éventuellement vous être utiles !
La coenzyme q10
La coenzyme Q10 est un puissant antioxydant et joue un rôle crucial dans la production d’énergie au sein des mitochondries, qui sont abondantes dans les ovocytes en raison de leurs besoins énergétiques élevés pour la maturation et la division cellulaire.
Des études ont en effet montré que la coenzyme Q10 améliore également la capacité de maturation des ovocytes, en particulier chez les femmes âgées ou celles ayant une faible réserve ovarienne.
Le zinc
Le zinc participe à la maturation des ovocytes, tout en étant aussi un antioxydant. Il contribue aussi à la régulation hormonale, il agit sur l’axe hypothalamo-hypophysaire et contribue à la synthèse normale de l’ADN.
Les vitamines B et D
La vitamine B9 (qu’on appelle souvent acide folique dans sa version synthétique) est antioxydante, améliore la qualité ovocytaire et joue aussi un rôle crucial dans la synthèse de l’ADN et la division cellulaire. La vitamine B12 vient aussi lutter contre le stress oxydatif et participe à la production d’énergie, ce qui est hyper important pour le développement des ovocytes ! Elle contribue aussi à l’assimilation de la B9.
La vitamine D, quant à elle, est également une belle antioxydante, en plus de toutes ses fonctions essentielles pour notre organisme.
Pour vous aider, voici quelques compléments alimentaires que nous pouvons vous recommander !
Le Multivitamines grossesse UNAE (vous avez -10% avec le code EMANCIPEES)
Le Baby Boost de Boome (vous avez -15% avec le code TEAMEMANCIPEES)
Le complément 9 mois de Hollis (vous avez -10% avec le code EMANCIPEES)
Il faut néanmoins bien comprendre qu’il n’y a pas d’aliment ou de complément alimentaire magique : pour préserver ou booster sa qualité ovocytaire, il est important de construire une routine, un protocole adapté à vos propres problématiques, contraintes et besoins. Si vous le souhaitez, c’est tout l’objet du Fertility Club, notre programme d’accompagnement à destination des femmes et des couples qui souhaitent avoir un enfant et améliorer leur fertilité naturellement 🙂
Au bout de combien de temps la qualité des ovocytes peut être améliorée ?
Il faut compter environ 3 mois pour « observer » des changements en termes de qualité des ovocytes !
En effet, comme expliqué plus haut, les ovocytes commencent à sortir de leur état de dormance 3 mois avant l’ovulation et c’est sur ce laps de temps que l’on peut jouer pour améliorer la qualité ovocytaire 🙂
Est-ce qu’il est important d’optimiser sa qualité ovocytaire si on ne veut pas de bébé ?
Absolument ! Tout d’abord parce qu’il s’agit d’un processus qui prend du temps (minimum 3 mois), donc autant optimiser ses chances pour le moment où l’on se sent prête à avoir un enfant 🙂 (si ce projet arrive un jour !).
Par ailleurs, quand on a des ovocytes de qualité, on a aussi une belle sécrétion d’oestrogènes, qui ont plein de bienfaits pour notre santé globale, notamment au niveau ostéo-articulaire et cardiovasculaire. Et un ovocyte de qualité équivaut à un corps jaune de qualité et donc à une sécrétion de progestérone suffisante : or, la progestérone contribue aussi à notre santé cardiovasculaire, tout en ayant aussi des vertus apaisantes sur notre système nerveux (entre autres)
Pour résumer – Questions fréquentes
Est-ce qu’il est possible d’améliorer la qualité des ovocytes ?
Absolument ! Si l’âge est un facteur important de l’altération de la qualité des ovocytes, on peut améliorer la qualité de ses ovocytes en travaillant sur son hygiène de vie pour réduire le stress oxydatif.
Comment améliorer la qualité de mes ovocytes ?
Il n’y a pas de recette universelle et chaque femme doit avoir sa routine adaptée pour améliorer sa fertilité et ses ovocytes. Pour ce faire, on peut travailler sur certains axes comme l’alimentation, l’activité physique, la gestion de son stress et s’appuyer sur des compléments alimentaires bien choisis.
Si vous avez envie de creuser ce point, on en parle beaucoup dans le Fertility Club 🙂
Quels sont les aliments pour booster sa qualité ovocytaire ?
Les aliments alliés de la qualité des ovocytes sont ceux riches en antioxydants, en bons gras, ainsi qu’en nutriments essentiels comme le zinc, la vitamine D, la vitamine C ou encore les vitamines du groupe B (pour ne citer qu’eux !).
Vous l’aurez compris, il n’y a pas de fatalité en matière de qualité des ovocytes : même si leur nombre baisse avec l’âge, on peut clairement jouer sur leur qualité pour maximiser nos chances de conception 🙂 Et tant qu’on ovule, il y a toujours de l’espoir !
J’espère en tout cas que cet article vous aura donné un shoot d’espoir si vous êtes en attente d’une grossesse <3 Si vous avez des questions complémentaires, n’hésitez pas à nous les poser en commentaire !
Les sources complémentaires