La progestérone est l’hormone sécrétée par le corps jaune après l’ovulation. Pas d’ovulation, pas de progestérone !
Elle prépare le corps à la grossesse, à chaque cycle (qu’on le veuille ou non !). Si l’ovule n’a pas été fécondé, sa production chute et les règles surviennent entre 11 et 16 jours après l’ovulation.
Elle a également d’autres bienfaits pour la santé globale, notamment sur notre système nerveux et cardio-vasculaire.
Il existe des moyens médicamenteux et/ou des solutions naturelles pour soutenir sa progestérone en phase post-ovulatoire.
La progestérone, on est nombreuses à en avoir entendu parler, mais on ne sait pas toujours précisément à quoi elle sert, si ce n’est qu’elle a un lien avec notre cycle menstruel et nos règles. Et c’est complètement normal !
Elle est pourtant essentielle pour notre santé reproductive, notre fertilité, mais aussi pour notre bien-être global. Au même titre que les oestrogènes (que l’on connaît parfois mieux), elle a son rôle à jouer dans notre équilibre féminin.
Alors dans cet article, on va tout vous expliquer sur cette précieuse hormone qu’est la progestérone ! On va revenir ensemble sur son impact dans le cycle menstruel, ses missions de « gardienne du temple » qui nous préparent à la grossesse après l’ovulation et ses vertus sur notre santé plus globale.
On va aussi vous expliquer comment savoir si vous avez suffisamment de progestérone, comment la doser et quelles solutions s’offrent à vous pour pallier ce déséquilibre hormonal si elle s’avère insuffisante, car cela peut être un vrai sujet (notamment si vous souffrez de SPM ou êtes en projet bébé). Let’s go !
L’huile d’onagre est une huile végétale riche en acides gras essentiels (LA et GLA), qui lui confèrent des vertus anti-inflammatoires et antioxydantes.
L’huile d’onagre est un complément très réputé pour la santé des femmes : elle participe à l’équilibre des hormones féminines et soulage notamment le syndrome prémenstruel (douleurs, irritabilité, etc.), mais aussi les symptômes de la préménopause et de la ménopause.
Elle est aussi un complément essentiel de la fertilité, puis de l’accouchement !
Pour être utilisée de manière sûre et efficace, il convient de vérifier ses contre-indications, mais aussi de la choisir avec soin, auprès d’un laboratoire fiable et reconnu.
Grâce à la richesse de son huile extraite de ses graines, l’onagre est une plante extrêmement populaire en phytothérapie pour tout ce qui touche à la santé féminine : équilibre hormonal, apaisement du syndrome prémenstruel (SPM), amélioration de la fertilité, accompagnement de la ménopause, mais aussi beauté de la peau, intégrité de notre cerveau et de nos artères, elle est littéralement sur tous les fronts !
Toutefois, l’huile d’onagre est-elle le complément miraculeux à ajouter à toutes nos routines ? Est-elle adaptée à tous les cas. Est-elle LE produit universel qui convient à toutes ?
Dans ce qui suit, on décrypte avec vous toutes les propriétés et les bienfaits de l’huile d’onagre sur le cycle féminin : car oui, elle en a beaucoup ! 🙂 En revanche, elle a aussi quelques limites à connaitre et ça tombe bien, car on vous en parle aussi dans cet article 😉
Grâce à sa richesse en acide gamma linoléique (GLA), l’huile d’onagre a des vertus anti-inflammatoires, régule les hormones du cycle féminin et booste la glaire cervicale.
La posologie recommandée est de 1500 mg par jour.
On peut prendre de l’huile d’onagre sur tout le cycle, ou seulement en phase pré-ovulatoire / post-ovulatoire, selon ses objectifs.
L’huile d’onagre est OK en PMA (à condition d’être validée par votre équipe médicale).
L’huile d’onagre a néanmoins des contre-indications : règles, grossesse, troubles de la coagulation, etc.
Il est important de bien choisir son huile d’onagre pour profiter de tous ses bienfaits.
Lorsque l’on est en projet bébé, l’huile d’onagre fait partie des plantes dont on entend énormément parler. Mais est-ce LA ressource magique qui résoudrait tous les problèmes defertilité, ou au contraire de la poudre de perlimpinpin ?
En fait, grâce à sa richesse en acides gras et en omégas, elle a de nombreuses vertus qui en font une vraie alliée des femmes en désir de grossesse.
Dans ce qui suit, nous allons tout vous dire sur l’huile d’onagre, afin que vous puissiez réellement profiter de tous ses bénéfices pour booster votre fertilité : comment agit-elle ? Quels sont ses véritables bienfaits ? Comment la prendre ? Comment choisir son huile d’onagre ? Dans quels cas est-elle contre-indiquée ? Let’s go !
Table des matières
Qu’est-ce que l’huile d’onagre ?
L’onagre est une plante nord-américaine, qui arbore de jolies petites fleurs jaunes qui s’ouvrent à la nuit tombée. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle elle est aussi appelée « primevère du soir » 🙂 Mais trêve de botanique, l’huile d’onagre contient surtout de petites graines noires, dont l’huile est extraite.
L’huile d’onagre est composée de :
omégas 6 (acides gras poly-insaturés), et plus précisément de l’acide linolénique (ou « LA », à hauteur de 70%) et de l’acide gamma linolénique (ou « GLA », à hauteur de 10%)
omégas 9 (acides gras mono-insaturés), et plus précisément de l’acide oléique
vitamines E et F, qui sont des très beaux antioxydants
entre autres !
L’huile d’onagre contient donc une excellente proportion d’acides gras essentiels : ces acides gras ne sont pas synthétisés par l’organisme et doivent donc être apportés par l’alimentation ou un complément. Ils sont d’autant plus importants pour la santé féminine et la fécondité !
Quels sont les bienfaits de l’huile d’onagre sur le cycle menstruel et la fertilité ?
Les bienfaits de l’huile d’onagre sur la santé des femmes sont reconnus depuis longtemps ! Voici ses principaux modes d’action pour la fertilité 🙂
Elle a un effet anti-inflammatoire
L’huile d’onagre agit sur les prostaglandines, qui sont des modulateurs de l’inflammation : les acides gras qu’elle contient (notamment l’acide gamma linolénique) agissent sur les prostaglandines anti-inflammatoires (PGE1). Or, faire baisser l’inflammation, c’est un peu la base quand on parle d’apaiser la sphère menstruelle et hormonale : et c’est d’autant plus vrai si on souhaite tomber enceinte !
Elle permet aussi de réduire l’inflammation en agissant sur les radicaux libres, grâce à ses propriétés antioxydantes.
Elle régule les hormones du cycle menstruel
Des études doivent encore confirmer ce point, mais l’huile d’onagre permettrait de réguler le système hormonal, en maintenant un équilibre entre les œstrogènes et la progestérone ! La progestérone est l’hormone « pro-gestation » sécrétée après l’ovulation et qui prépare le corps à la grossesse, puis lui permet de se dérouler au mieux. Elle est donc primordiale quand on est en mode « conception » !
Une chose est sûre : les acides gras essentiels qui composent l’huile d’onagre permettent de constituer nos hormones, qui sont issues du cholestérol, donc du gras, et qui en ont absolument besoin pour pouvoir être produites 🙂
L’huile d’onagre est d’ailleurs reconnue pour apporter un certain bien être menstruel et soulager les symptômes du syndrome prémenstruel (le fameux SPM) dont souffrent un grand nombre de femmes. Or quand on veut un bébé, il est important d’avoir un cycle menstruel doux et équilibré 🙂
Elle améliore la glaire cervicale
Grâce à ses acides gras (encore eux !), l’huile d’onagre a une action émolliente sur la glaire cervicale : elle est ainsi sécrétée en plus grande quantité et devient encore plus nourrissante pour les spermatozoïdes.
Pour rappel, c’est grâce à la glaire que les spermatos peuvent survivre jusqu’à 5 jours dans les cryptes du col de l’utérus en attendant l’ovulation, puis qu’ils parviennent à rejoindre l’ovule dans la trompe utérine. En favorisant une belle amélioration de la glaire cervicale, l’huile d’onagre permet d’augmenter les chances de fécondation, et donc, de conception !
De plus, le fait qu’elle s’extériorise davantage facilite son observation, et permet de visualiser sa fenêtre de fécondité de manière plus précise, pour ne pas louper le coche 😉
Si vous le souhaitez, certaines de nos lectrices ont partagé leur jolie glaire cervicale d’ovulation dans la Glairie, aka la Galerie de la Glaire cervicale made in Emancipées, certaines photos de glaires impressionnantes par leur quantité étant clairement liée à la prise d’huile d’onagre : ) ! (Attention avant de cliquer, ce sont de vraies photos de glaire ;))
Elle tonifie l’utérus
L’onagre est réputée pour agir sur la tonicité des muscles utérins, ce qui est toujours utile ! Cela ne signifie pas forcément qu’elle le contracte , mais qu’elle permet globalement une meilleure santé utérine.
À quel moment du cycle menstruel prendre de l’huile d’onagre pour augmenter ses chances de grossesse ?
Tout dépend ce sur quoi vous souhaitez travailler avec l’huile d’onagre 🙂
Améliorer la glaire cervicale
Si vous souhaitez que votre glaire cervicale gagne en qualité avec l’onagre, il vaut mieux la prendre en première partie de cycle, de la fin de vos règles jusqu’à l’ovulation.
Soutenir la phase post-ovulatoire
Certaines femmes préfèrent travailler sur l’équilibre oestrogènes / progestérone : dans ce cas, vous pouvez la prendre de l’ovulation jusqu’au début de vos règles.
Travailler sur l’équilibre du cycle menstruel
Dans cette hypothèse globale, vous pouvez la prendre sur tout votre cycle, hors règles pour booster votre glaire en pré ovulatoire puis votre équilibre oestro-progestatif en post ovulatoire.
Ne pas la prendre pendant les règles !
De par son action fluidifiante et émolliente, la prise d’huile d’onagre peut augmenter le volume des saignements. On l’arrête donc toujours pendant les règles !
Au bout de combien de temps peut-on voir les effets de l’huile d’onagre ?
Si on en croit nos messages privés sur Instagram, certaines femmes voient un effet de l’huile d’onagre sur leur glaire cervicale parfois dès le premier cycle ! En effet, son action émolliente est souvent immédiate, donc elle peut produire ses effets illico.
S’agissant de l’équilibre hormonal et le SPM (et parfois aussi la glaire, ce n’est pas toujours immédiat), on estime qu’il faut attendre 2-3 cycles pour constater les bienfaits de l’huile d’onagre. N’oubliez pas également que tout dépend de chacune 🙂
Comment prendre de l’huile d’onagre pour tomber enceinte ? Quelle dose prendre chaque jour ?
Côté posologie, on recommande généralement de prendre une dose journalière de 1500 mg d’huile d’onagre (ce qui correspond à 3 capsules de 500 mg) par voie orale. On peut même monter à une quantité de 2000-3000 mg par jour pour faciliter l’arrivée d’une grossesse, mais en étant suivie par un professionnel !
Il est possible de faire une cure de 3 mois + une pause d’1 mois : si vous n’êtes pas enceinte à l’issue de cette pause, vous pouvez repartir sur un trimestre de cure !
L’huile d’onagre est parfois combinée à l’huile de bourrache, qui a des vertus similaires. En effet, l’huile de bourrache contient également beaucoup d’acide gamma linolénique (oméga 6) et de vitamine E, ainsi que des oméga 9. Comme l’huile d’onagre, elle fluidifie le sang, elle est anti-inflammatoire, apaise et nourrit la peau et peut être utilisée en cas de troubles liés à la ménopause et au SPM.
L’huile d’onagre est-elle OK en PMA ?
Si vous êtes en parcours PMA, on vous recommande plutôt de prendre de l’huile d’onagre en phase pré-ovulatoire (de la fin des règles à l’ovulation) : ses propriétés émollientes permettront de booster votre glaire, qui peut être asséchée par certains traitements médicaux, notamment le Clomid (il s’agit d’un inducteur d’ovulation).
En revanche, pour ne pas perturber le protocole en place, arrêtez une fois l’ovulation confirmée. Et de manière générale, demandez toujours l’avis de votre médecin de PMA avant de prendre l’huile d’onagre (ou tout autre chose, d’ailleurs), même en pré ovulatoire, par principe 🙂
L’huile d’onagre et ses autres bienfaits sur la santé féminine
L’huile d’onagre permet d’augmenter les chances de tomber enceinte, mais pas que ! Elle a d’autres avantages, particulièrement intéressants 🙂
Accouchement : à l’approche de la fin du terme, elle est souvent recommandée pour détendre l’utérus et aider au début du travail. Elle est donc intéressante en toute fin de grossesse, en la prenant par voie vaginale. Pour en savoir plus, n’hésitez pas à lire notre article sur l’huile d’onagre pendant la grossesse et l’accouchement !
Syndrome prémenstruel : on l’a dit, ses propriétés anti-inflammatoires et son action hormonale permettent d’apaiser les symptômes liés au syndrome prémenstruel, notamment les tensions mammaires.
Ménopause : ses bienfaits équilibrants permettent également une amélioration des symptômes de la ménopause et de la péri-ménopause, comme les bouffées de chaleur ou la sécheresse vaginale, par exemple !
Grâce à son effet anti-inflammatoire et sa richesse en acides gras polyinsaturés, l’huile d’onagre a de nombreux bienfaits sur le système immunitaire, les maladies cardiaques et la peau. Entre autres !
Quelles sont les contre-indications et possibles effets secondaires de l’huile d’onagre ?
Dans la mesure où l’huile d’onagre agit sur la circulation sanguine, elle a tendance à fluidifier le sang et donc à augmenter les saignements. C’est la raison pour laquelle cette plante n’est pas recommandée dans les cas suivants :
Pendant les règles
Pendant la grossesse
En cas d’intervention chirurgicale à venir
En cas de troubles de la coagulation
En cas d’épilepsie et schizophrénie
En cas d’allergie à l’onagre
Par ailleurs, en raison de sa richesse en oméga 6, on recommande de l’utiliser avec prudence en cas d’endométriose et de l’associer systématiquement à des compléments à base d’omégas 3, pour respecter le ratio oméga 3 et oméga 6.
Certaines femmes ont ressenti certains symptômes désagréables à la suite d’une prise d’huile d’onagre, comme des inconforts digestifs ou des maux de tête : si cela vous arrive, arrêtez, par précaution 🙂
De la même manière, si vous avez un doute sur des symptômes ou une éventuelle contre-indication, n’hésitez pas à en parler à votre médecin ou votre gynécologue.
Comment choisir son huile d’onagre ? (+ notre recommandation et un code promo !)
Pour profiter pleinement de tous les bienfaits de l’huile d’onagre, il est essentiel de choisir un complément de qualité, car toutes les huiles d’onagre ne se valent pas. Voici les éléments à regarder de près pour bien choisir son huile d’onagre :
L’huile extraite des graines doit être biologique, vierge et de première pression à froid.
Choisissez plutôt une huile d’onagre en gélules : cela permet de mieux maîtriser le dosage et l’huile est ainsi mieux préservée 🙂
Par ailleurs, l’huile d’onagre rancit et doit être conservée au maximum au frais et à l’abri de la lumière.
Compte tenu de ces critères à respecter, et comme on nous demande toujours nos marques chouchous, on vous recommande en particulier les capsules d’huile d’onagre de chezHollis, qui sont de très belle qualité et réalisées par un laboratoire français tout à fait sérieux 🙂 Le code EMANCIPEES vous donne droit à -10% sur votre commande, enjoy !
Pour conclure, l’huile d’onagre est une véritable alliée de la santé féminine et de notre fertilité ! Sa composition unique en acides gras essentiels, en omégas 6 et 9 etc. font d’elle un complément précieux en projet bébé, surtout que l’alimentation seule ne suffit généralement pas à apporter ces précieux nutriments.
Les bienfaits de l’huile d’onagre sont nombreux, à la fois sur l’équilibre hormonal et la production de notre précieuse glaire cervicale, indispensable à la rencontre ovule/spermato, et donc au début d’une grossesse !
On espère que cet article vous permet d’y voir plus clair et de mieux comprendre comment l’huile d’onagre peut vous aider à booster votre fertilité. Si vous avez des questions, l’espace commentaires est à votre disposition !
Que l’on soit une fervente adepte du sexe en période de règles, ou au contraire pas très fan de la pratique, il y a un mythe largement partagé : on ne risquerait pas de tomber enceinte pendant les règles.
Si cette croyance repose sur une théorie bien établie (une grossesse ne peut survenir qu’autour de l’ovulation, or celle-ci intervient a priori plus tard dans le cycle), la réalité est plus nuancée et plusieurs situations peuvent faire mentir ce sacro-saint principe.
On brise le suspense dès à présent : tomber enceinte pendant les règles est peu probable, mais, sous certaines conditions, ce n’est pas impossible ! On vous explique.
Quand on parle de courbe de température pour calculer sa date d’ovulation, on pense souvent à une vieille méthode de grand-mère un peu dépassée, et surtout pas franchement fiable.
Et ce n’est pas complètement faux ! Pour autant, mesurer sa température quotidiennement fait aussi partie d’approches bien plus sérieuses pour gérer sa fertilité au naturel (telles que la symptothermie) et, combinée à d’autres observations, elle peut permettre de confirmer que l’on a bien ovulé.
Vous souhaitez savoir pourquoi et comment suivre votre courbe de température ? Vous voulez comprendre comment température, ovulation et fertilité peuvent bien être liées ? On vous explique tout !
La glaire cervicale est un formidable outil de maîtrise de sa fertilité au naturel, car elle nous renseigne au jour le jour sur l’étape à laquelle nous en sommes dans notre cycle. En effet, cette substance que l’on peut remarquer dans nos sous-vêtements se fait tour à tour absente, collante puis glissante : c’est sa manière de nous indiquer si on est fertile ou si on ne l’est pas ! Et ça, c’est précieux, que l’on soit en mode conception (vous souhaitez tomber enceinte) ou en mode contraception.
Sauf que quand vient le moment d’observer notre glaire cervicale, on peut se trouver un peu démunie : comment s’y prendre ? Quelle est la meilleure méthode à adopter ? Qu’est-ce qu’il faut noter exactement ? Est-ce qu’on est vraiment obligée de toucher sa glaire ? Quel est le moment de la journée le plus propice pour observer sa glaire ? Etc, etc, etc… ! 🤯
Pour vous éviter de vous prendre la tête ou (pire !) de vous décourager, on vous explique très simplement comment faire, pas à pas, pour observer votre glaire cervicale (et vous allez voir, ce n’est pas si compliqué !)
Quand on s’intéresse un peu aux méthodes naturelles de suivi de cycle comme la symptothermie, on entend assez vite parler du Tempdrop, ce petit bracelet qui permet de suivre notre température basale tout au long de nos cycles, de manière moderne et connectée.
Ceci étant dit, est-il fiable et adapté aux méthodes symptothermiques ? Est-il si pratique que ça au quotidien ? Est-il réellement un outil indispensable, une aide incontournable pour suivre son cycle avec plus de facilité ?
Dans ce qui suit, on vous donne notre avis sur le Tempdrop (spoiler : on l’a essayé et adopté !), tout en précisant les précautions d’usage à adopter et en essayant de répondre à vos questions les plus fréquentes à son sujet 🙂
Biologiquement, notre corps de femme fait en sorte que nous ovulions tous les mois, ou en tout cas, à chaque cycle menstruel. Sauf qu’il arrive parfois que cette formidable ingénierie se grippe et que l’ovulation se fasse plus rare, voire qu’elle disparaisse complètement.
C’est d’autant plus problématique quand on souhaite tomber enceinte, surtout qu’un trouble de l’ovulation n’est souvent détecté qu’au détour d’un bilan d’infertilité, car il n’est pas toujours visible pour une femme pas habituée à s’observer.
Mais on vous rassure tout de suite : on peut très bien ne pas ovuler sur un cycle sans que ce soit grave 🙂 En revanche, on peut aussi penser qu’on ovule parce qu’on a ses « règles » de manière plus ou moins régulière et que donc, tout va bien : mais pas forcément !
Dans cet article, on vous dit tout ce qu’il faut savoir sur l’absence d’ovulation : ce que c’est réellement, pourquoi on peut ne plus ovuler, quelles sont les solutions qui existent pour retrouver un cycle ovulatoire… et dégommer certaines idées reçues au passage 😉
On a toutes déjà observé des sécrétions blanchâtres dans notre culotte, ou ressenti une sensation d’humidité dans la journée, alors même que nous ne sommes pas du tout en période de règles.
Ce que peu d’entre nous savent en revanche, c’est que ces pertes ne sont absolument pas aléatoires ni inutiles, et encore moins sales ou honteuses !
Au contraire, elles sont le principal signe que notre cycle menstruel fonctionne et que notre corps s’apprête à ovuler. Ces sécrétions, que l’on appelle “glaire cervicale”, nous informent sur notre fertilité : en observant leurs variations au cours du cycle, on peut savoir précisément si l’on peut, ou non, tomber enceinte. La glaire cervicale d’ovulation est très particulière et permet notamment d’optimiser les rapports quand on est en désir de grossesse (ou des les éviter si, au contraire, ce n’est pas au programme !).
Dans ce qui suit, on vous explique tout ce qu’il faut savoir sur l’ovulation, et surtout sur comment la glaire cervicale se transforme à l’approche de celle-ci, afin que vous puissiez repérer à quel moment de votre cycle vous êtes la plus fertile 🙂
A l’adolescence, les jeunes filles changent : parmi les étapes les plus marquantes de la puberté, on peut noter le développement des seins, de la pilosité et l’apparition des premières règles. Mais il y a un autre phénomène dont on parle moins et qui témoigne aussi de l’entrée de la jeune fille dans son corps de femme : les pertes blanches !
Et si on en parle moins, c’est que les pertes vaginales restent un sujet un peu honteux que l’on n’évoque pas trop entre filles, car on s’imagine parfois qu’elles sont sales et hyper gênantes : elles sont pourtant un signe précieux de l’arrivée des premières règles et du début de la vie reproductive !
Pourquoi, comment ? Dans ce qui suit, on va vous apporter des réponses sur les pertes blanches à l’adolescence, leur manière de refléter la bonne santé hormonale des jeunes filles et comment elles permettent d’anticiper l’arrivée des règles 😉