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Alcool avant test de grossesse positif : y a-t-il des risques pour le bébé ?

alcool avant test grossesse positif

Les idées clés

  • L’alcool est interdit durant la grossesse, car le placenta ne filtre pas les molécules d’alcool : le bébé ingère donc tout l’alcool consommé par sa maman au cours de son développement dans l’utérus.
  • L’alcool est dangereux pour l’embryon puis pour le foetus, car il peut provoquer des malformations, des troubles cognitifs et du comportement, ainsi qu’un retard de croissance.
  • Néanmoins, le risque est minoré en tout début de grossesse, car il s’écoule plusieurs jours entre la fécondation et la nidation du bébé dans l’utérus.
  • Il est également important de limiter sa consommation d’alcool en pré-conception, pour les hommes comme pour les femmes.
  • En voyant notre test de grossesse positif, on a toutes vécu cet ascenseur émotionnel : la joie intense, puis la panique de se dire « oh non, mais j’ai fait la fête ce week-end, et j’ai bu de l’alcool !!!« . En effet, nous sommes généralement bien informées sur le fait que l’alcool est proscrit pendant la grossesse, en raison des risques qu’il pourrait faire porter à notre enfant à naître.

    Si des risques existent bel et bien, on tient néanmoins à vous rassurer : si vous apprenez votre grossesse dès votre retard de règles, votre bébé ne devrait pas être impacté par votre consommation d’alcool 🙂

    Dans cet article, on fait le point sur les risques de la consommation d’alcool pendant la grossesse, et on vous explique aussi pourquoi il ne faut pas vous torturer outre mesure si vous avez bu de l’alcool alors que vous étiez en tout début de grossesse sans le savoir 😉

    Donc si vous êtes très stressée, balayez vite le début de cet article, potentiellement anxiogène, et allez directement au paragraphe « Des risques néanmoins moins grands en tout début de grossesse » !

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    Pourquoi a-t-on parfois des pertes liquides comme de l’eau ?

    pertes liquides comme de l'eau

    Les idées clés

  • Les pertes blanches sont tout à fait normales et physiologiques : elles peuvent correspondre à l’auto-nettoyage du vagin, à de la cyprine ou de la glaire cervicale.
  • Les sécrétions d’auto-nettoyage ont un rôle de protection contre les infections, la cyprine permet la lubrification au moment des rapports et la glaire cervicale assure nos chances de concevoir.
  • Lorsqu’une femme est sur le point d’ovuler, la glaire cervicale devient visqueuse, lubrifiée et transparente, voire totalement liquide comme de l’eau ou de l’huile.
  • La grossesse, l’adolescence, le post-partum et la périménopause sont également des périodes durant lesquelles les sécrétions vaginales peuvent être plus liquides et abondantes.
  • Si ces pertes blanches liquides sont douloureuses, inconfortables, malodorantes et/ou s’accompagnent de fièvre, il est important de consulter.
  • Entre nous, qui ne s’est pas déjà posé de sérieuses questions face à la vue (ou la sensation) de pertes vaginales liquides, qui ressemblent à de l’eau et mouillent nos culottes (sans être de l’urine !) ? On vous rassure tout de suite : si cela vous est arrivé, vous n’êtes clairement pas la seule !

    En effet, ces pertes blanches liquides nous arrivent à toutes car elles sont normales. On ne le sait pas forcément, car le sujet est un peu tabou, mais ces sécrétions ne sont pas sales ou honteuses : elles font juste partie des mécanismes naturels de notre corps et sont souvent liées à nos hormones et notre cycle menstruel. Il arrive néanmoins aussi que ces sécrétions soient le signe d’un souci de santé, et qu’elles méritent un avis et un traitement médical. D’où l’importance de les connaître et de savoir les décrypter, pour savoir quelles pertes sont normales… ou pas !

    Envie de comprendre (enfin !) pourquoi il arrive parfois que vos pertes soient totalement liquides, ou du moins, un peu plus présentes que d’habitude dans votre culotte ? On vous explique toutes les raisons à ça et croyez-nous, vous n’allez plus regarder vos pertes blanches de la même manière 😉

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    SPM ou grossesse ? Le jeu des différences !

    spm ou grossesse

    Les idées clés

  • Les symptômes du SPM et du début de grossesse sont assez similaires et il peut être compliqué de faire la différence entre les deux.
  • Les symptômes assez différenciants du début de la grossesse sont le saignement de nidation, les nausées et vomissements et la plus grande visibilité des veines et des tubercules de Montgomery sur les seins, ainsi que le maintien d’une température basale élevée (pour les femmes qui pratiquent la symptothermie).
  • Le timing des symptômes peut aussi aider car les signes de grossesse précoces peuvent être présents 6-7 jours après l’ovulation, alors que les symptômes du SPM surviennent généralement plus tard.
  • Crampes, sautes d’humeur, fatigue, sensibilité accrue, poitrine tendue, etc. : si vous vous demandez parfois (ou souvent) si vos symptômes de fin de cycle menstruel sont liés à une grossesse ou « simplement » à votre syndrome prémenstruel, vous n’êtes pas seules ! Cela concerne aussi bien les femmes qui ont envie d’avoir un bébé que celles qui ne sont absolument pas prêtes à en avoir un 🙂

    Qu’on ait l’habitude d’avoir des symptômes saugrenus, ou qu’un cycle nous en fasse découvrir de nouveaux jusqu’alors inconnus, ces fluctuations peuvent clairement poser question : « je suis enceinte, ou pas ?!« , « SPM ou grossesse ?« . En effet, nos hormones nous jouent parfois des tours et leurs messages ne sont pas toujours clairs, surtout quand on a tendance à tout sur-analyser (on vous voit, et surtout, on vous comprend !).

    Dans ce qui suit, on va tenter de vous expliquer comment faire la différence entre les symptômes du syndrome prémenstruel et ceux qui peuvent être des signes de grossesse précoces 🙂 Let’s go !

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    Double ovulation : mythe ou réalité ?

    double ovulation

    Les idées clés

  • L’ovulation ne se produit qu’une seule fois par cycle menstruel, car la progestérone, hormone sécrétée après l’ovulation, bloque la cascade hormonale nécessaire à ce processus complexe, jusqu’à sa chute en fin de cycle si l’ovule n’est pas fécondé.
  • Il est néanmoins possible d’expulser deux ovules au cours d’une même ovulation et ce phénomène a lieu dans l’espace d’une journée, pas plus !
  • On ne peut pas reconnaître une double ovulation en observant son cycle, car les symptômes d’une double ovulation ne sont pas différents d’une ovulation « simple » et ne sont pas majorés.
  • Une double ovulation peut donner naissance à des faux jumeaux, si les deux ovules sont fécondés.
  • Il ne faut pas confondre double (ou multiple) ovulation et tentatives d’ovulation : le corps peut envoyer des signaux d’ovulation (notamment avec la glaire cervicale), mais cette dernière peut finalement ne pas aboutir.
  • Le phénomène de superfétation, deux ovulations ayant lieu à plusieurs jours d’intervalle, est en principe physiologiquement impossible (sauf très rares exceptions : 10 cas recensés dans toute l’Histoire).
  • Le cycle menstruel est quelque chose d’assez obscur, très peu enseigné et parfois tabou. Pour autant, il fait aussi l’objet de nombreux mythes qui peuvent déstabiliser et inquiéter certaines d’entre nous, notamment lorsque l’on cherche à adopter une approche naturelle de notre fertilité

    C’est le cas de la double ovulation, concept flou et plein de fantasmes (vous savez, ce genre d’histoires de femmes enceintes de deux bébés à plusieurs semaines d’intervalle ?!).

    Vous avez entendu parler de la double ovulation et souhaitez savoir si ce phénomène existe réellement et ce qui se cache derrière ?

    On vous explique ce qu’en dit la science !

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    Pourquoi on ressent parfois une grosse fatigue avant les règles ?

    grosse fatigue avant les règles

    Les idées clés

  • Il est très courant de ressentir une fatigue intense avant l’arrivée des règles, et cela peut s’expliquer par la chute hormonale en fin de cycle menstruel.
  • Néanmoins, la fatigue peut également s’expliquer par des douleurs prémenstruelles ou des troubles du sommeil causés par le syndrome prémenstruel (qui peut également se manifester par une mauvaise humeur ou de l’irritabilité, de la déprime ou diverses douleurs comme des maux de tête.
  • Il existe des solutions naturelles et liées au mode de vie pour lutter contre la fatigue prémenstruelle et ses désagréments.
  • En raison des douleurs et saignements, les règles peuvent être très fatigantes pour une femme ; mais ce dont on parle moins, c’est la fatigue intense que l’on peut ressentir juste avant ses règles, que nous sommes tout de même 80% à ressentir !

    En effet, la fin du cycle menstruel peut nous mettre littéralement à plat : la faute à qui ? À nos hormones, bien sûr ! Ou plutôt, à la chute de nos hormones féminines, aka les oestrogènes et la progestérone, qui sont les gardiennes de notre énergie : une énergie plutôt en expansion en première partie du cycle (merci les oestrogènes) et tournée vers nous-même en deuxième partie de cycle (merci la progestérone).

    À la suite de la baisse drastique de nos hormones à l’approche de nos règles, notre sommeil peut s’en trouver perturbé, ce qui est assez normal. Toutefois, on peut aussi ressentir d’autres symptômes qui vont venir continuer de nous drainer, comme des douleurs utérines, des troubles de l’humeur, du stress, de l’anxiété, voire une mini dépression : dans ce cas, on s’éloigne un peu de la normalité du cycle et on expérimente en réalité le SPM, le fameux syndrome prémenstruel (dont on se passerait bien).

    Pourquoi on se sent parfois si fatiguée avant nos règles ? Et surtout, quelles sont les solutions (car elles existent !) pour faire en sorte de retrouver un peu d’énergie ? On vous explique tout ça 😉

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    Pourquoi a-t-on parfois un SPM sous pilule ?

    SPM sous pilule

    Les idées clés

  • Le syndrome prémenstruel (SPM) désigne l’ensemble des symptômes physiques et émotionnels qu’une femme peut ressentir avant l’arrivée de ses règles : douleurs, irritabilité, maux de tête, fringales, etc.
  • La pilule est souvent proposée parmi les traitements du SPM, car elle bloque l’ovulation et le cycle menstruel, et donc, en théorie, les symptômes du syndrome prémenstruel chez les femmes qui en souffrent.
  • Cela étant, il n’est pas rare que les femmes prenant une contraception hormonale souffrent de symptômes semblables au SPM avant leurs règles : la chute hormonale de la fin de plaquette ou un mauvais dosage de la pilule peuvent être en cause, tout comme la prise de la pilule en elle-même.
  • Il est possible de soulager le syndrome prémenstruel « naturel » ou sous pilule grâce à des méthodes basées sur l’hygiène de vie (alimentation, plantes, compléments alimentaires, etc.).
  • Quand les douleurs, les troubles de l’humeur, la fatigue et les maux de tête (pour ne citer qu’eux) sont au menu à l’approche de nos règles, on a généralement très envie de renier notre utérus et notre cycle menstruel et de les passer sous silence grâce à la pilule contraceptive.

    Si elle est très souvent l’une des solutions proposées pour camoufler le syndrome prémenstruel (SPM) (pour ne pas dire la seule), il n’est pas rare de constater que certaines femmes continuent d’en souffrir alors qu’elles prennent la pilule, ou pire, qu’elles en font les frais alors qu’elles n’en avaient pas avant !

    Comment cela est-il possible ? Pourquoi la pilule ne soulage pas toujours le syndrome prémenstruel ? On vous explique 🙂

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    Règles sous pilule, des “fausses règles” ?

    règles sous pilule

    Les idées clés

  • Les règles sous pilule sont en fait des hémorragies de privation : ce ne sont donc pas de vraies règles.
  • Les règles sont la conséquence d’une ovulation qui n’a pas donné lieu à une grossesse : or, les pilules combinées et, dans une moindre mesure, les pilules progestatives, bloquent ce phénomène de l’ovulation.
  • Sous pilule, le cycle menstruel est à l’arrêt, comme lors de la grossesse, ce qui explique que les vraies règles soient absentes.
  • Les règles sous pilule n’ont pas d’utilité physiologique ou médicale : elles ont été créées pour mimer un cycle menstruel grâce à la prise de comprimés placebo ou l’arrêt entre deux plaquettes, principalement afin de rassurer les femmes.
  • Il est possible de s’affranchir des règles en prenant la pilule en continu, sans risque majoré pour la santé (les risques et effets secondaires (bien réels) sont les mêmes que pour la prise de pilule classique).
  • 🎧🎞 Si vous souhaitez avoir une version audio de cet article ainsi qu’un éclairage médical (précieux !) à ce sujet, voici notre épisode de podcast sur les règles sous pilule avec le Dr Martin Winckler, qui vous explique tout ça très bien ! 🙂

    Lorsqu’on prend une contraception hormonale (comme les différentes pilules, un patch ou un implant, par exemple), les règles arrivent en général de façon très prévisible, systématiquement le même jour et parfois même à heure fixe. 

    La Nature serait-elle si incroyable et millimétrée ? Pas vraiment non…! 

    En effet, ce qu’on appelle des “règles” sous pilule n’en sont en fait pas du tout, ou en tout cas n’ont rien à voir avec les règles d’un cycle sans hormones de synthèse. Pire, l’unique intérêt de ces saignements réguliers serait… de nous rassurer !

    En effet, le mécanisme physiologique derrière ces saignements est tout à fait différent de celui qui provoque les vraies règles. On vous explique tout sur ce « mal » (les règles sous pilule) pas si nécessaire que ça !  

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    Quelles sont les raisons de la prise de poids avant les règles ?

    prise de poids avant les règles

    Les idées clés

  • Les femmes ont tendance à prendre du poids en fin de cycle, juste avant l’arrivée de leurs règles.
  • Cela peut s’expliquer par la hausse de l’appétit et le ralentissement du transit générés par la progestérone, mais aussi par la rétention d’eau due aux oestrogènes.
  • La chute hormonale peut également modifier notre humeur et nos comportements alimentaires, surtout en cas de syndrome prémenstruel (SPM).
  • Il existe des solutions pour réduire la prise de poids et surtout, les sensations de ballonnements et de gonflement avant les règles (alimentation, plantes, activité physique, etc.)
  • Qui n’a pas déjà constaté une augmentation (plus ou moins) significative de son poids sur la balance et réalisé, au fil des cycles, que cette prise de poids avait lieu juste avant les règles ?

    Et cela est tout à fait normal et physiologique ! En effet, nos hormones jouent un rôle dans notre appétit, notre humeur et notre digestion (entre autres), ce qui explique qu’on peut prendre facilement une taille de pantalon avant nos règles (avant de revenir à notre taille habituelle quelques jours après). Donc règle numéro 1 : on ne se pèse pas dans les jours qui précèdent ses règles, pour éviter tout ascenseur émotionnel inutile !

    Et surtout la bonne nouvelle, c’est qu’il existe aussi des solutions pour éviter que cette prise de poids ne soit excessive et éviter qu’on se sente trop « gonflée », trop « bouffie » avant que nos règles démarrent 🙂

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    Comment choisir un lubrifiant « fertilité friendly » ?

    lubrifiant fertilité

    Les idées clés

  • Quand on est en essai bébé, il est judicieux d’éviter certains lubrifiants qui peuvent endommager les spermatozoïdes, et on peut préférer un lubrifiant qui augmente les chances de concevoir, notamment quand une grossesse tarde à arriver.
  • Les lubrifiants de fertilité ont généralement une composition assez spécifique, au pH neutre, à base d’eau, d’acide hyaluronique et d’éléments nutritifs pour les spermatozoïdes, contrairement aux lubrifiants plus classiques qui peuvent nuire à leur survie dans le vagin.
  • Le lubrifiant ne suffit pas à lui seul pour garantir une grossesse, mais peut permettre de ne pas perturber la fécondation.
  • Au-delà de bien choisir le timing des rapports, il y a un élément auquel on ne pense pas toujours quand on est en couple et qu’on veut avoir un enfant : le choix du lubrifiant (si tant est qu’on en utilise bien sûr !!).

    Si le gel lubrifiant doit retrouver ses lettres de noblesses et peut être très utile pour rendre les rapports plus agréables, il est important de bien le choisir pour ne pas ruiner tous ses efforts : en effet, les lubrifiants les plus classiques peuvent attaquer les spermatozoïdes et altérer la fertilité, notamment quand le sperme n’est déjà pas d’une qualité optimale. Il est donc préférable de se tourner vers un gel lubrifiant spécialement conçu pour protéger lesdits spermatos, car oui, ça existe !

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    Contraception après accouchement : la pilule est-elle la seule option ?

    contraception après accouchement

    Les idées clés

  • Après l’accouchement, l’ovulation peut revenir assez vite, à partir de 3 semaines après l’accouchement si on n’allaite pas. L’allaitement peut en revanche décaler le retour de l’ovulation de quelques semaines, voire de plusieurs mois !
  • Après l’accouchement, une femme est fertile dans les 3 semaines qui précèdent son retour de couches.
  • Il existe tout un panel de contraceptions possibles après l’accouchement, qu’elles soient hormonales (pilules, patch, DIU, anneau vaginal) ou non (DIU au cuivre, préservatif, MAMA, symptothermie, etc.).
  • Certaines méthodes de contraception sont en revanche déconseillées tout de suite après l’accouchement en cas d’allaitement, comme les pilules oestroprogestatives.
  • Certaines méthodes de contraception après accouchement sont utilisables tout de suite (comme le préservatif, qui en plus, protège des infections sexuellement transmissibles), quand d’autres ne sont recommandées que dans un certain délai (de minimum 3 semaines).
  • Une fois qu’on a réussi la prouesse de mettre un bébé au monde, on est généralement soumises à deux discours un peu contradictoires : reprendre les rapports ASAP (alors qu’on a parfois juste envie d’entrer au couvent !), mais surtout pas sans contraception (on ne voudrait surtout pas enchaîner les grossesses, n’est-ce pas ?).

    En réalité, si on souhaite vraiment éviter une seconde grossesse consécutive, il est important de penser à sa contraception après l’accouchement et de prendre le temps de considérer toutes les options qui s’offrent aux jeunes mamans. Car oui, vous n’êtes pas forcément obligée d’opter pour la pilule ! Il existe plusieurs méthodes de contraception adaptées au post partum, qu’elles contiennent des hormones de synthèse ou non, allant du préservatif au stérilet, en passant par la méthode MAMA et la symptothermie (oui, spoiler, c’est possible !).

    Néanmoins, bien sûr, ce choix de contraception est tout de même un tout peu moins large en post partum et certaines précautions sont à observer après l’accouchement, notamment si vous allaitez 🙂

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