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test d'ovulation

Test d’ovulation VS symptothermie : quelle méthode est la plus fiable pour détecter l’ovulation ?

Les idées clés

  • Le test d’ovulation permet de connaître la date de son ovulation en détectant une hormone bien particulière, la LH : le pic de LH précède en effet l’ovulation !
  • En pratique, les tests d’ovulation ne sont pas toujours fiables : ils peuvent en effet être réalisés trop tôt ou trop tard au cours du cycle, ou encore ne pas détecter la LH correctement, induisant des faux positifs ou des faux négatifs.
  • En ne se basant que sur la LH, un test d’ovulation permet seulement d’indiquer que l’ovulation est en approche, en oubliant qu’une femme est également fertile 5 jours avant l’ovulation et le lendemain de celle-ci.
  • La symptothermie, qui se base sur deux bio-marqueurs de l’ovulation (la glaire cervicale + la température) semble bien plus fiable pour reconnaître l’ovulation et identifier la période de fertilité.
  • 🎞 Si vous souhaitez une version vidéo de l’article, elle est disponible sur Youtube ! 🎧 Et pour celles qui sont plutôt team « podcast », l’épisode sur ce sujet est disponible sur toutes les plateformes d’écoute 🙂

    Quand on cherche à tomber enceinte, on connaît l’importance cruciale d’identifier avec précision sa période de fertilité et le jour de l’ovulation pour augmenter ses chances de grossesse 🙂 C’est la raison pour laquelle on trouve aujourd’hui des tests d’ovulation en pharmacie (ou en ligne), qui, sur le papier, nous indiquent clairement les jours durant lesquels on est fertile, et les jours où on ne l’est pas, histoire d’« optimiser » les rapports.

    Mais une question demeure : les tests d’ovulation sont-ils vraiment fiables ? Dans cet article, on va vous expliquer comment ils fonctionnent et pourquoi parfois (souvent), ils se trompent et vous induisent en erreur (et oui :s).

    On va aussi et surtout voir ensemble en quoi la symptothermie est quant à elle bien plus fiable pour déterminer le jour de l’ovulation et donc, vous permettre de tomber enceinte 😉



    Le cycle menstruel et la fenêtre de fertilité chez la femme

    Avant de s’intéresser au fonctionnement des tests d’ovulation proprement dit, parlons un peu du cycle menstruel, de son déroulé et de la fameuse phase fertile 🙂

    Les grandes étapes du cycle menstruel

    Le cycle menstruel se découpe en 4 phases :

    • Les règles, durant lesquelles l’endomètre se détache, en raison de la chute hormonale opérée à la fin du cycle précédent. Les hormones hypophysaires (LH et FSH) et ovariennes (oestrogènes et progestérone) sont au plus bas, mais remontent doucement.

    • La phase pré-ovulatoire, durant laquelle le cerveau, et surtout l’hypothalamus et l’hypophyse, s’éveillent tranquillement pour relancer l’ovulation. L’hypophyse sécrète de la FSH, dont le rôle est de stimuler les follicules ovariens afin qu’ils maturent. Ces derniers produisent de plus en plus d’oestrogènes, au gré de leur croissance.

    • La phase ovulatoire, durant laquelle un follicule prend le lead et sécrète tellement d’oestrogènes que le cerveau répond à ce pic hormonal par une grosse décharge de LH, l’hormone lutéinisante : ce pic de LH permet l’ovulation, qui a lieu maximum 16h plus tard. La LH commence à augmenter 36 heures avant, atteint son pic puis chute d’un seul coup !

    • La phase post-ovulatoire : pendant que l’ovule attend dans la trompe qu’un spermatozoïde vienne le féconder (dans un délai de 24 heures), le reste de son enveloppe, le corps jaune, sécrète de la progestérone, qui prépare le corps à la grossesse (qu’il y ait fécondation ou non). Au bout de quelques jours, lorsque le corps jaune comprend qu’il n’y a pas eu de création d’embryon, il se désagrège et la production de progestérone chute avant d’atteindre son niveau zéro. L’endomètre se détache et les règles surviennent.

    phases du cycle menstruel

    La fenêtre de fertilité chez la femme

    Maintenant que vous en savez plus sur la façon dont le cycle menstruel se déroule, il est important de rappeler que la femme n’est fertile que seulement quelques jours par cycle : environ 5 jours avant l’ovulation et 1 jour après.

    En effet, si l’ovulation ne dure que quelques instants, la fenêtre fertile est quant à elle plus large. Pourquoi ? Grâce à la glaire cervicale, qui, de par sa composition toute particulière, permet de garder les spermatozoïdes en vie durant 5 jours, dans les cryptes du col de l’utérus, en attendant qu’un ovaire expulse son ovule. Plus l’ovulation approche, plus la glaire cervicale devient étirable, transparente et lubrifiée, comme du blanc d’oeuf cru. Au moment où l’ovulation a lieu, cette même glaire escorte les spermatozoïdes jusqu’à l’ovule. L’ovule, quant à lui, survit maximum 24 heures : s’il n’est pas fécondé, il meurt, tout simplement.

    Les jours les plus fertiles du cycle sont donc les 5 jours qui précèdent l’ovulation + le lendemain, soit environ 6 jours !

    période de fertilité

    On n’ovule pas forcément le 14e jour !

    Autre point très important à connaître concernant le cycle menstruel : l’ovulation n’a pas forcément lieu au jour 14 ! En effet, certaines femmes ovulent à J10 ou à J20 par exemple, voire plus tard : et c’est tout à fait normal. Tout dépend de la rapidité avec laquelle le cerveau se remet à communiquer en début de cycle pour relancer une ovulation 🙂 L’ovulation peut aussi être entravée en raison d’un stress ou d’un déséquilibre hormonal et prendre un peu plus de temps.

    Par ailleurs, on n’ovule pas toujours au même jour d’un cycle à l’autre : on peut cycle ovuler à J13 sur un cycle et à J17 sur le cycle suivant, par exemple 🙂 Ce n’est absolument pas un problème ! Cela devient plus problématique lorsqu’il y a plus de 7 jours d’écart d’un cycle à l’autre : on peut alors parler de cycle irrégulier.


    test d'ovulation

    Comment fonctionne un test d’ovulation ?

    Entrons maintenant dans le vif du sujet !

    Tout repose sur la détection de la LH

    Un test d’ovulation est un petit appareil qui détecte la LH dans les urines : souvenez-vous, il s’agit de l’hormone lutéinisante, dont le pic déclenche l’ovulation !

    Certaines méthodes naturelles d’observation du cycle couplent glaire cervicale + tests d’ovulation, telles que la méthode Marquette pour déterminer la date de l’ovulation et la fenêtre de fertilité maximale.

    À noter : certaines marques comme Clearblue, proposent des tests d’ovulation détectant aussi les oestrogènes, qui atteignent également un pic avant l’ovulation. Cela permet d’élargir la fenêtre de fertilité car les oestrogènes commencent à monter avant la LH 🙂

    Les tests d’ovulation sont généralement proposés sous forme de bandelette, sur le même modèle que les tests de grossesse.

    Comment interpréter les résultats d’un test d’ovulation ?

    Généralement, les marques de tests d’ovulation vous indiquent la date de votre ovulation avec :

    • Un smiley, qui sourit quand il détecte de la LH

    • Des barres : une barre signifiant qu’il est négatif et deux barres qu’il est positif. Si la deuxième barre n’est pas franche, le test est considéré comme négatif.

    Lorsque le test est positif, les marques recommandent généralement d’arrêter de faire des tests sur ce cycle, considérant que le jour de l’ovulation a bel et bien été détecté.


    fiabilité test d'ovulation

    Quelle est la fiabilité d’un test d’ovulation ?

    OK, tout ceci étant dit, on peut penser que les tests d’ovulation sont une super solution pour déterminer, avec fiabilité, les jours les plus fertiles du cycle et la date de l’ovulation ! Sauf que ce n’est pas si simple :s

    En effet, selon la DGCCRF (la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes), qui a mené son enquête sur le sujet, « les investigations ont mis en évidence des anomalies d’étiquetage et des défauts de sensibilité pour 4 produits sur 10« . Précisons que l’enquête porte sur les tests d’ovulation et les tests de grossesse.

    Mais pourquoi donc ? Le rapport souligne que soit les tests ont un défaut de sensibilité, soit ils mettent plus de temps à détecter la LH que ce qui est indiqué sur la notice du fabricant. Il arrive également que les tests ne soient pas utilisés de la bonne façon, au mauvais moment de la journée, par exemple.

    Voilà qui porte déjà un sacré coup à la fiabilité des tests d’ovulation… Mais ce n’est pas tout !

    Les faux positifs

    Il est en effet possible que votre test d’ovulation soit un faux positif : il indique une forte concentration en LH, alors que vous n’ovulez pas vraiment :s Voici les cas qui peuvent conduire à un faux positif !

    Si vous êtes en parcours PMA, certains inducteurs d’ovulation comme le Clomid boostent artificiellement la LH.

    Par ailleurs, une concentration élevée de LH indique que l’ovulation se prépare (dans les 16 à 36h qui suivent), mais pas forcément qu’elle aboutit. Elle peut en effet, pour une raison ou pour une autre, se stopper dans la dernière ligne droite.

    En cas de SOPK, votre LH est toujours très élevée et est donc détectée par les tests d’ovulation, qui indiquent toujours un résultat positif. Or, pour ovuler, il ne faut pas que la LH soit haute, mais qu’elle fasse un pic ! Si elle est constamment haute, l’ovulation ne se produit pas.

    Durant la péri-ménopause, les ovaires fatiguent et pour les « éveiller », le cerveau les sur-stimule en les bombardant de FSH et de LH.

    Enfin, une anomalie au niveau des ovaires ou un souci de thyroïde peuvent faire augmenter la LH.

    Les faux négatifs

    Le cas inverse peut se produire : votre test d’ovulation vous indique que vous n’êtes pas fertile… alors que vous l’êtes !

    Premièrement, n’oubliez pas que la plupart des tests ne détectent que la LH : or, celle-ce ne commence à être sécrétée que 36 heures avant l’ovulation, alors que, grâce à la glaire cervicale, vous pouvez être fertile jusqu’à 5 jours avant 😉 Un test fait 5 jours avant sera donc réalisé trop tôt par rapport à la détection de LH, mais un rapport sexuel réalisé dans cette fenêtre pourra être fécondant !

    Il est également possible d’ovuler avec un taux de LH inférieur à la valeur en UI détectée par le test d’ovulation : il faudra alors passer à un test plus sensible 🙂

    Vous pouvez aussi réaliser votre test trop tard, le jour de l’ovulation, et le test sera négatif : la LH a en effet chuté, l’ovule est en train d’être libéré, et n’attend que d’être fécondé puisqu’il vit 12 à 24h dans la trompe !

    Par ailleurs, comme dit plus haut, on n’ovule pas forcément à le 14e jour : une femme peut tout à fait ovuler à J10 ! Or, si vous commencez à faire un test d’ovulation à partir de J14, votre fenêtre de fertilité maximale sera passée et vous penserez, à tort, que vous n’ovulez pas.

    Le test peut aussi être effectivement négatif en cas de cycle anovulatoire : ce n’est pas grave du tout ! Toutes les femmes vivent de tels cycles au cours de leur vie, c’est juste que la majorité du temps, elles ne s’en rendent pas compte, car elles sont des saignements en fin de cycle menstruel, qui font penser à des règles.


    avantages et inconvénients test d'ovulation

    Quels sont les avantages et les inconvénients des tests d’ovulation ?

    Le principal avantage des tests d’ovulation, c’est qu’on les trouve plutôt facilement (en pharmacie par exemple) et qu’ils sont simples à utiliser.

    Le souci, c’est qu’ils peuvent être coûteux (il faut acheter une nouvelle boîte à chaque cycle et le prix peut vite grimper) et, comme nous l’avons vu, leur fiabilité quant à la date de l’ovulation, seulement basée sur le pic de LH, est toute relative, ce qui peut peser sur vos chances de grossesse :s


    symptothermie

    La symptothermie, ou quand notre corps nous dit quand l’ovulation se prépare

    À la lecture de ce qui précède, on espère sincèrement que vous ne pensez pas qu’il est, du coup, totalement IMPOSSIBLE de détecter votre ovulation et votre fenêtre de fertilité : on sait à quel point il est précieux de mettre toutes ses chances de son côté quand on est en projet bébé, à quel point il importe d’être actrice de sa fertilité !

    Et ça tombe bien, car il y a une méthode, qui elle, peut vous donner les clés pour suivre votre cycle et votre fertilité : la symptothermie !

    Qu’est-ce que la symptothermie ?

    La symptothermie est une méthode d’observation du cycle menstruel, qui se base sur les deux bio-marqueurs de l’ovulation : la glaire cervicale, dont on a parlé précédemment, et la température. Le col de l’utérus est un troisième critère, plus facultatif.

    La glaire cervicale

    Durant la première moitié du cycle, des règles à l’ovulation, les oestrogènes augmentent de manière exponentielle et la glaire suit cette tendance. Elle passe d’une texture pâteuse et collante, à une texture plus crémeuse, avant d’avoir cet aspect blanc d’oeuf cru typique de l’ovulation.

    Après l’ovulation, sous l’effet de la progestérone, la glaire s’assèche et redevient pâteuse.

    symptothermie ovulation

    La température

    La progestérone a un autre impact : elle fait augmenter la température d’environ 0,5 degrés. Au cours du cycle, on peut donc voir un plateau de température plutôt bas avant l’ovulation, qui atteint un plateau haut après !

    L’ovulation est alors observée et validée lorsque la température se maintient haute sur plus de 3 jours, et que la glaire, après être montée en qualité, s’assèche, là encore sur au moins 3 jours.

    température ovulation

    Quelle est la fiabilité de la symptothermie ?

    La symptothermie est une méthode naturelle d’observation du cycle, mais n’est pas pour autant une méthode de grand-mère totalement obsolète, comme la méthode Ogino ou celle des températures !

    Son approche objective combinant deux signaux de fertilité, moderne et scientifique, est bien plus efficace, et cela se ressent clairement dans son taux de fiabilité qui atteint 98,2% en pratique.

    A contrario, si on s’en tient aux chiffres officiels, le taux de fiabilité de la méthode Marquette, qui se base sur la glaire + les tests de LH est de seulement 93%.

    fiabilité symptothermie

    Les avantages et inconvénients de la symptothermie

    Les avantages

    La symptothermie est une méthode :

    • Naturelle

    • Fiable

    • et qui ne nécessite pas de dispositifs externes… tels que les tests d’ovulation 😉

    Les inconvénients

    La symptothermie présente aussi certaines contraintes :

    • Elle nécessite une formation sérieuse et rigoureuse pour apprendre à observer sa glaire cervicale et prendre sa température + interpréter ces signaux.

    • La formation a un coût

    Toutefois, ces deux inconvénients sont généralement moindres avec le temps : comme le permis de conduire, la symptothermie demande une phase d’apprentissage mais un investissement au départ, mais ensuite, elle fait partie intégrante du quotidien ! Si vous souhaitez en avoir plus sur la symptothermie et son application dans le cadre d’un projet de grossesse, sachez qu’on y consacre une large place dans le Fertility Club 😉


    Verdict ?

    Vous l’aurez compris : si les tests d’ovulation ont l’avantage d’être accessibles et plus simples d’utilisation, ils pêchent par leur manque de fiabilité et nombreuses sont les femmes qui ratent le « coche » de leur ovulation, cycles après cycles. Un peu comme les calendriers d’ovulation !

    La symptothermie est une méthode beaucoup plus fiable, qui s’appuie sur une observation quotidienne de son corps et de ses signaux de fertilité. Une fois que l’on est formée, elle nous permet d’être en totale autonomie et totalement actrice de son projet bébé 🙂


    questions fréquentes

    Questions fréquentes

    Vous pouvez commencer à faire un test d’ovulation dés que vous apercevez de la glaire cervicale un peu crémeuse/laiteuse. Les marques recommandent quant à elles de vous baser sur la durée de votre cycle et de retrancher un certain nombre de jours pour « tomber » sur le jour ouvrant votre période de fertilité. Même si cette méthode n’est pas très fiable, dans la mesure où le date de l’ovulation est variable d’un cycle à l’autre !

    Quant au moment de la journée durant lequel faire le test, les fabricants recommandent généralement de le faire le matin, car les premières urines sont plus concentrées.

    Si vous souhaitez tomber enceinte, vous pouvez avoir des rapports non protégés dés que vous avez un test d’ovulation positif, en gardant en tête que votre période de fertilité ne se referme que le lendemain (même si votre test est négatif) : un rapport sexuel peut donc tout à fait donner lieu à une grossesse !

    Gardez aussi en tête que votre période de fertilité réelle est plus large que celle indiquée par le test, qui ne prend en compte que le pic de LH : sauf qu’il ne s’agit que d’un paramètre parmi d’autres, et votre fécondité est en partie assurée par la glaire cervicale, qui garde les spermatos en vie pendant 5 jours environ avant l’ovulation proprement dite.

    Non ! Avoir un test d’ovulation positif ne veut pas dire qu’on sera forcément enceinte à tous les coups, il s’agit d’un indicateur. Par ailleurs, même avec un rapport sexuel réalisé le jour de l’ovulation, les chances de fécondation et donc de grossesse à chaque cycle n’est que de 25%. Seul un test de grossesse peut vous indiquer si vous êtes enceinte ou non 🙂

    Toutefois, la LH étant proche de l’hormone béta hCG, produite en début de grossesse, il arrive que les tests d’ovulation soient positifs en début de grossesse !


    Pour résumer, les tests d’ovulation peuvent parfois être utiles, mais rien ne vaut la connaissance et l’observation de son propre corps de femme et de ses signaux de fertilité pour repérer son ovulation et augmenter ses chances de conception lorsque l’on veut tomber enceinte 🙂 En effet, un test d’ovulation a ses limites et il est important de ne pas s’appuyer seulement sur un smiley affiché sur un petit appareil 😉

    Qu’en pensez-vous ? Saviez-vous que les tests d’ovulation pouvaient être faussés ? Connaissiez-vous la symptothermie et quelles sont vos impressions sur cette méthode naturelle d’observation du cycle ? On a hâte de lire vos commentaires ! 🙂

    2 réflexions au sujet de “Test d’ovulation VS symptothermie : quelle méthode est la plus fiable pour détecter l’ovulation ?”

    1. Bonjour ! Je test mon LH avec des tests d’ovulations sur lequel je dois uriner. J’ai eu un résultat de 0.86 le jour 13 et de 0.96 le jour 14. Puis les jours suivants, j’ai diminué soit à 0.67 le lendemain, 0.25 le jour 16 et jours 17 0.12 et jours 18, 0.09.

      Ai-je été suffisamment haute pour dire que j’ai ovulé?
      Mon col de l’utérus, n’est pas bas en soit, mais pas si haut ! Je peux l’atteindre avec mes doigts. Il est plus tôt dur autour et mou à l’entré mais fermé.

      Nous essayions depuis 5mois. J’ai peur de ne pas ovuler correctement.

      Merci beaucoup pour vos blogues ! C’est extraordinaire.

      Répondre
      • Coucou Alicia ! Il est assez délicat de te répondre, car nous ne connaissons pas les « normes » des tests d’ovulation, nous sommes plus spécialisés en symptothermie 🙂 Si le col est fermé, cela signifie généralement que tu es en période non fertile.
        Si tu souhaites savoir si tu ovules correctement, je te recommande de suivre ton cycle avec la symptothermie : en effet, les tests d’ovulation t’indiquent que le corps tente une ovulation (en lançant le pic de LH détecté par le test), mais pas forcément que l’ovulation a abouti. Seule la prise de température, combinée à l’observation de la glaire qui s’assèche, peut te confirmer une ovulation réussie. N’hésite pas à lire cet article pour aller plus loin : https://www.emancipees.com/symptothermie/ Je te souhaite une belle journée !

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    Auteur/autrice de l’image

    Émancipées redonne aux femmes le contrôle sur leur cycle menstruel.

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